Après l'homme et la haute-couture, c'est maintenant au tour des femmes de défiler et la première étape de cet agenda chargé est: la Fashion Week de New-York.
Souvent boudée par la presse pour son côté trop commercial et son manque de créativité, l'événement a, cette année, su tirer son épingle du jeu...
Faisons un petit tour d'horizon des grandes tendances new-yorkaise au travers des créations qui nous ont interpelé.
Preuve que la mode est un éternel recommencement, nous notons qu'en plus de ça elle se fout de nous! Il y a encore un an on nous jurait la fin du vintage et l'entrée dans une nouvelle ère, celle du sportswear chic et des matériaux savants. Et qu'est ce que nous voyons sur les podiums pour l'automne 2008? Tweed, lainage, lurex accompagnés de volumes très 50's et des graphismes qui vont avec. Bon aller c'est pas grave, la prochaine fois on se jure qu'on ne les écoutera plus!
Souvent boudée par la presse pour son côté trop commercial et son manque de créativité, l'événement a, cette année, su tirer son épingle du jeu...
Faisons un petit tour d'horizon des grandes tendances new-yorkaise au travers des créations qui nous ont interpelé.
Preuve que la mode est un éternel recommencement, nous notons qu'en plus de ça elle se fout de nous! Il y a encore un an on nous jurait la fin du vintage et l'entrée dans une nouvelle ère, celle du sportswear chic et des matériaux savants. Et qu'est ce que nous voyons sur les podiums pour l'automne 2008? Tweed, lainage, lurex accompagnés de volumes très 50's et des graphismes qui vont avec. Bon aller c'est pas grave, la prochaine fois on se jure qu'on ne les écoutera plus!
Premier ambassadeur de ce courant vintage, Peter Som fait défiler jupes pinceaux, blouses satinées et vestes en tweed. Une héroïne des années 50 dont on aime l'allure générale, discrète et affirmée, voir même sévère...
Pour Thakoon c'est le vintage à l'anglaise, du carreaux à gogo et les codes couleurs de la saison: émeraude et moutarde. C'est une jeune fille plus légère qui déambule sur le podium, perchées sur des talons qui me rappelle furieusement une marque commençant par BA..... (aller je vous aide ça finit par LENCIAGA).
Autre grande tendance de cette saison, le masculin-féminin. Oui je vous l'accorde, elle est plutôt redondante celle-là, mais certains créateurs arrivent encore à l'enrichir de leur imaginaire. Cette année, face A, on réinterprète l'uniforme et le smoking pour un ton rigoureux et impeccable, tandis que face B on se penche sur le trash, l'esprit grunge.
Rag & Bone nous ouvre les portes d'un pensionnat où les petites filles sages, coiffées de bérets, mix le bermuda au veston d'homme. Chandail et cravate nouée autour du cou ces garçons manqués arborent des tons très neutres de sable, bleu métal et de gris.
Enfin la star du moment, Alexander Wang, lâche ses bad girls chic sur les podiums de la grosse pomme. Entre tailoring et esprit grunge, la jeune femme hésite. Elle file ses collants et exhibe une veste merveilleusement taillée. Elle porte le gilet d'homme comme personne, bonnet vissé sur la tête et pantalon large au tombé proche de la perfection. La désinvolture chic, intelligente et bien sentie!
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