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samedi 25 octobre 2008

Confusion des genres

ne brève mode, pour celles qui auraient entendu parler de cette tendance au travestissement, dont tous nos magazines parlent. Si vous aussi vous videz le placard de votre mec, arpentez les rayons homme de vos boutiques de fringues préférées et chercher désespérément ce blazer aux larges épaules et au tombé parfait, alors le luxe a pensé à vous !
Quand je dis le luxe entendez deux des marques qu’il compte en son bataillon. Dior et YSL proposent, chacune à leur manière, une déclinaison de l’homme vers la femme.
Chez Dior c’est à la boutique d’Omotesando que la capsule « Petite Taille » sera présentée, proposant aux japonaises de s’offrir une sélection des pièces les plus pertinentes de la collection homme FW 08 de la marque.

Chez YSL c’est une capsule plus poussée qui sera proposée aux clientes. Nommée « Unisex », la collection est construite à partir de la SS09 masculine, elle même inspirée des tissus de la femme. L’allure est loose et bien sentie, de quoi accrocher les fashionistas en quête d’un vestiaire masculin.

jeudi 9 octobre 2008

Take a look at the look Paris

in du voyage et terminus, vous êtes arrivé à Paris capitale de la mode, de la gastronomie et du roller (j’ai découvert ça sur une pub ce week-end). C’est ici que se confirme les tendances et qu’on assiste, enfin, à de véritables mises en scène.
Alors voyons ceux qui ont su nous captiver en ces temps de péril économique et par conséquent d’érosion culturelle (c’est beau…).

First, Balmain et Christophe Decarnin, créateur affectionnant tout particulièrement la jambe féminine. Depuis maintenant deux saisons, c’est un défilé de gambettes, la jupe est ultra courte, contrastant, ici, avec les vestes coutures aux épaules exagérées. Les petites robes chics et asymétriques pour jeune demoiselle aguicheuses. On aime le jean clair ultra usé marié à une veste aux accents précieux. On aime aussi, mais avec modération, le look « pouf chic » très court, très flashy et avec ce petit côté bondage qui n’est pas pour nous déplaire. Même chose pour ce dernier look, flirtant avec maitrise entre vulgarité et beauté.
Nous passons à Margiela et son défilé-show pour les 20 ans de la marque. Je ne m’étendrai pas sur les rumeurs de départ du créateur, mais plus particulièrement sur les modèles qui ont défilé. Conceptuels, spectaculaires, du grand Margiela, importable mais c’est ça aussi la mode. In love with la robe avec impression numérique, le smoking d’unijambiste et le costume cousin machin.
Akris fut sans doute l’un des défilés que j’ai le plus apprécié lors de cette fashion week parisienne. Pour tout vous avouer, je ne connaissais pas franchement la marque et c’est à ma grande surprise que j’ai découvert une vision simple et assez architecturale. J’ai particulièrement aimé cette première robe légère et au décolleté géométrique. On aime le deuxième look, très Jil Sander dans l’esprit, soft et impeccable. La dernière robe, diffuse ce petit parfum d’été qu’il manquait à beaucoup de défilés, un imprimé naturel aux couleurs pastel, vivement les prochaines chaleurs.
Chez YSL, Stefano Pilati a sans doute eu bien trop chaud pendant ses vacances, car chez lui ni couleur, ni légèreté. Tout au plus de la fluidité dans ses sarouels réinterprétés et une collection intelligemment construite. L’inspiration est japonisante avec ses vestes aux manches XXL. Du noir, du chair et de ci de là des sequins qui réveillent. On adore les chaussures cages, marquantes, et on aime un peu moins le motif goutte d’eau inversée, inintéressant. Le premier look est au delà du chic, une jupe au volume étudié et taille haute. La combi sequin vert émeraude est brillante et le smoking sarouel tout simplement sublime.
Balenciaga nous offre une nouvelle fois une véritable proposition. Ce qui est marrant avec Ghesquière c’est que souvent, le défilé terminé, on ne sait trop quoi penser. On passe du négatif, à l’incertitude pour enfin littéralement adorer la collection. Ce qui est sûr c’est que le créateur provoque une réaction, qu’importe sa nature, il ne laisse personne indifférent. Ici c’est une fois de plus une vision extrêmement moderne qu’il nous propose, entre tenues d’hôtesse de l’air stylisées à l’extrême, thème irisé et chaussures hybrides. On aime, justement, cette veste aux épaules exagérément arrondies, se jouant de la lumière. On aime aussi le pantalon déstructuré sur une allure empreinte de sévérité. Enfin on sortira se pavaner avec cette dernière robe, irisée, magnifique.
Petit nouveau sur cette fashion week parisienne, analyse du premier défilé de Kris Van Assche. Et bien, très bonne surprise, original et bien senti, le défilé m’a réellement accroché. Le jeune créateur, plutôt inspiré par la mode masculine, a finalement fait déborder son univers sur celui de la femme. C’est autour de la boxe que tourne la collection, le casting est fait en adéquation (bien la seule chose à laquelle je n’ai pas vraiment adhéré), pleine de nonchalance, les nanas déambulent dans l’espace affublées de shorts longs et du costume de leur mec. On aime ce short féminisé, waistcoat et bottines. On aime aussi ce costume taillé à la perfection et cette robe noire, une touche de sensibilité dans ce monde de brut.
Tiens une autre surprise, et pas des moindres. Je ne fais pas partie des détracteurs de Louis Vuitton, étant tombé sous le charme du défilé spring summer 2007 de la marque. Mais il est vrai qu’en cette saison, la marque française a franchie une nouvelle étape, celle d’une collection « mode ». Marc Jacobs nous ouvre les portes d’un vestiaire ethnique, ok assez ressemblant à son travail sur sa propre ligne (comme d’habitude d’ailleurs) mais particulièrement pertinent. Admirez cette maîtrise du tailoring, on aime le côté tahitienne chic de la seconde silhouette, On aime aussi ce stylisme à l’anglaise assumé, l’ampleur du pantalon et cette ceinture (aaah la ceinture…).
Finissons par mon coup de cœur de ces 4 semaines de la mode, celui qui a su proposer une collection intégralement portable, un stylisme pointu, chic et simplicime : Dries Van Notten.
Exit les fleurettes et le trop-plein de couleur, bonjour graphisme étudié, formes sublimes et féminité absolue. Pour la peine voici 4 looks pour le prix de 3. On aime la jupe près du corps, type côte de maille, surmontée d’une chemise blanche, masculine et impeccable. On aime aussi le look short et blazer, loose et décontracté. On adore cette troisième silhouette, toute en fluidité et graphisme et bien sûr cette petite robe noire, incrustée d’un motif fleuri.
Voilà, terminé les défilés, à vous de vous faire une idée précise de votre look de l’été prochain. Beaucoup de tendances, pas mal de redites, quelques nouveautés, en tous cas de notre côté, le travail est terminé.

mercredi 12 mars 2008

Dans Fashion Show il y a Show!

Et cette subtilité, certains créateurs ont tendance à l'oublier ou bien tout simplement la contester. En effet, aujourd'hui, beaucoup de marques préfèrent attirer l'attention des spectateurs sur la collection et non sur de quelconques artifices.
Cependant, pour d'autres, l'atmosphère du podium permet de souligner, de la plus belle façon qu'il soit, l'univers de la maison et des créations. Un outil de communication efficace, sublimant l'identité et les valeurs de la marque.

Pas de règle générale ici, si ce n'est que Paris et sa semaine de la mode restent connus pour leurs shows hautement créatifs.
Quelques agences se partagent la mise en scène de ces spectacles de mode. Alexandre de Betak, la Mode en Images, ce sont eux qui donnent vie aux idées parfois incongrues des créateurs.
Et cette année fut une nouvelle fois l'occasion de belles démonstrations de leur talent.
Bref aperçu des spectacles que la mode nous a proposé en cette saison automne-hiver 08/09.

Mon premier exemple n'est pas parisien mais milanais. Prada, qui n'a pas l'habitude des shows grandiloquent, s'offre un écrin tout particulier pour cette dernière collection. C'est dans un lieu sublime que Miuccia Prada dresse son podium, spirale infinie sur lequel défileront les silhouettes de la maison italienne.


Certaine maison ont la chance (ou plutôt le budget) de défiler dans des lieux historiques et magnifiques. C'est le cas de Chanel qui installe ses valises au Grand Palais et nous offre une fois de plus un spectacle extrêmement impressionnant. C'est un carrousel, intégralement réinterprété, qui prend place sous l'armature du monument parisien. Les chevaux de bois ont laissé leur place au camélia, aux deux C entrelacés ainsi qu'à la fameuse veste en tweed. Ces incontournables de la marque qui tournoient et accompagnent le ballet des mannequins devenant, le temps d'un instant, les enfants de ce manège de la mode.


C'est au bureau Betak que nous devons cette scène de liesse orientale. Sous un nuage d'encens, entre bassins, bouddha, paysans et éphèbes aux corps huilés, ce sont les créations de Sir John Galliano qui vont être présentées sous la Halle de la Villette. Une ambiance "Gallianesque" qui, sans être particulièrement impressionnante, illustre parfaitement l'univers du créateur.


Illustration très poétique des inspirations de son dernier défilé, Alexander Mc Queen met en scène une fable. C'est d'un arbre que tombe sa représentation de la femme pour l'automne-hiver 08/09. Une princesse échouée dans un décor, obscur et onirique. Un délicieux voyage au pays de l'imaginaire...


Le meilleur pour la fin! Tant en termes de collection que de mise en scène, le défilé Yves Saint Laurent fut une preuve de l'audacieuse maitrise de la maison. Montée sous les verrières du Grand Palais, la tente de Stefano Pilati a des allures de vaisseau spatial. Un monument à la gloire de la marque et de sa volonté de tourner une page de son histoire, résolument moderne.


En conclusion, oui j'apprécie le côté minimaliste et à la marge de certains créateurs qui restent volontairement pauvres dans leur mise en scène. Mais franchement, que c'est bon quand la mode nous en met plein les yeux!

Photos

lundi 3 mars 2008

La femme - Paris - Fall 08/09

Un peu de chauvinisme bien plaçé ne fait jamais de mal et c'est par cet article que je chanterai les louanges de notre belle capitale et de sa semaine de la mode (en français dans le texte s'il vous plaît!). Une semaine de la mode sous le signe de la diversité puisque la quatrième ville à présenter ses tendances pour l'automne-hiver prochain nous offre le style, non pas en un seul dictat, mais au travers de plusieurs propositions. Entre avancées étonnantes, sublimes mutations, de véritables spectacles de mode teintés de chic à la française. Un aperçu, non exhaustif, de nos silhouettes préférées...

Un orgasme fashion, c'est ce qu'a déclaré avoir éprouvé une journaliste à la sortie du défilé Yves Saint Laurent, l'un des plus marquant de ces 4 semaines de fashion week. Stefano Pilati nous propose une collection minimaliste aux portes de l'avenir, où son travail pour le tailoring, en référence au maître Saint Laurent, aborde de nouvelles proportions, de nouveaux volumes. Les pantalons taille haute, les manteaux sans col se mêlent à des couleurs neutres, noir, gris réveillées par des revers bleu électrique. C'est minimal, contemporain et délicieusement expérimental...


Une touche de romantisme dans ce monde de brut. Tsumori Chisato aborde la saison tout en légereté, une pleïade de robes dans ses cartons. En imprimés Liberty, dentelle et mousseline de soie, les couleurs pastels se mélangent et nous donne des looks désuets, plein de fantaisie. Les collants deviennent l'une des pièces phare de la collection, en dégradé de couleur et trompe l'oeil. En résumé, on aime cette mode qui ne reste qu'un jeu...

En jetant un œil au défilé Louis Vuitton une phrase m'est venue en tête "Ah j'en connais un qui n'a pas eu le temps de chercher très loin!". En effet les créations de Marc Jacobs pour le malletier français ressemble furieusement à celle de sa première ligne, présentée voilà de cela 3 semaines à New-York. Cependant, en y regardant de plus près, la version Vuitton est plus aboutie et plus chic. C'est donc les années 80 que revisite le créateur, lignes structurées et couleurs soft (camel, bleu tendre, gris flanelle et vert clair) habillent une femme affirmée, prête à en découdre!


C'est une nuit au musée, les sculptures s'animent et défilent sous nos yeux... C'est ce que nous propose Junya Watanabe, des silhouettes habillées de robes en jersey de coton, de pantalons-jupes, de robes-manteaux, des vêtements hybrides pour une femme qui joue de ses formes. De l'obscur, du noir, du gris, et des plissées savants pour une certaine idée de la mode.

Armée de sa plume, juste et visionnaire, Miuccia Prada rédige les pages du grand livre de la mode. Mais c'est sous son second pseudonyme, comprenez Miu Miu, qu'elle en écrit un exemplaire alternatif, sorte de second opus. Pour cela elle reprend le dialogue où il s'était arrêté, dans le minimalisme des années 90, et nous propose une collection futuriste, entre sportswear et allure sophistiquée. Les matières technologiques forment des combinaisons aux couleurs fluos et jouent l'extrême personnalisation en apposant les initiales des mannequins sur la poitrine. Une nouvelle page se tourne et voici, peut-être, la mode telle qu'elle sera à l'avenir...

Et la chrysalide devient papillon, vous me direz cela fait plusieurs saisons que l'on assiste à la sublime transformation de la maison Nina Ricci, mais c'est en cet automne-hiver 08/09, où la rigueur est omniprésente, que les plus romantiques s'illustrent de par leurs créations. Olivier Theyskens fait défiler ses muses, toutes droit sorties d'un tapis de feuilles mortes. Les couleurs automnales, cuivre, ivoire et bronze soulignent une ligne parfois masculine, portant un blazer à l'allure décontractée et un pantalon ample. Le soir c'est dans une robe, traine ou bustier, que les jeunes femmes font leur apparition, comme un peu de poésie dans ce monde inquiet...

La féminité absolue, c'est ce que nous propose Albert Elbaz pour Lanvin et dieu sait qu'il maîtrise ce concept. C'est un défilé de petites robes noires, terriblement chic et provocantes. Près du corps, la taille serrée, la longueur au dessus du genoux, c'est l'allure Lanvin de cette saison. Quelques jupes, pantalons et blousons viennent enrichir le vestiaire de cette femme, glamour et sévère, qui, le soir venu, s'habille d'or et impose son style, so Lanvin!

C'est une fable qu'Alexander Mc Queen nous raconte lors de ce sublime défilé. L'histoire d'une jeune fille descendue d'un arbre centenaire afin de rencontrer son prince et devenir reine. Entre ballerine et inspirations venues des Indes, la belle se pare de joyaux et de robes en tulle. Les silhouettes sont féériques, loin de toutes tendances. La garde robe est empruntée à celles de la reine Victoria ou d'Elisabeth II et devient celle d'une princesse indienne. Un conte fantastique qui nous ouvre les portes d'une collection qui l'est tout autant.

C'est une merveilleuse preuve de son talent que Nicolas Ghesquière nous a donné à admirer lors de ce dernier défilé Balenciaga. Un défilé où l'expérimentation touche à la perfection, et d'où la mode ressort grandie. J'avoue ne pas avoir adhéré à la collection estivale de la marque, mais ces dernières créations m'ont bien plus touché. C'est une femme inspirée des Diaboliques et doublée d'une touche de drame à l'espagnole qui déambule sur les podiums. Les formes sont sculptées, inédites, les manteaux et jupes en latex ornés de motifs japonisants, et les robes ont une allure folle. Ghesquière se place une fois de plus hors concours et amène Balenciaga au devant de la scène.

Et c'est par le créateur belge Dries Van Noten que nous terminerons ce tour d'horizon. C'est un défilé une nouvelle fois en marge des tendances, que nous propose le créateur. L'imprimé fleuri est toujours omniprésent, plus fin, plus travaillé, s'accrochant à des silhouettes contemporaines et féminines, en détail, broderies ou total look. On notera certaines pièces tel que ce blazer à l'allure détachée et cette maille oversize pour un peu de chaleur en cette saison d'hiver!


Photos

mercredi 27 février 2008

La vie en rouge... Une nouvelle vision pour YSL

Nouvelle identité pour Yves Saint Laurent qui inaugurait hier son nouveau concept de boutiques. C'est la boutique de la place Saint Sulpice qui, la première, bénéficie de ce lifting. Loin d'être un hasard cette adresse représente le berçeau du style Saint Laurent, le chic à la française, la femme Rive Gauche.

Un nouveau concept qui part d'un parfum, Opium, et de son univers entre provocation, sensualité et interdit. "Pour toutes celles qui s'adonnent à Yves Saint Laurent" disait le slogan de ce parfum qui marqua son époque et c'est un peu de cet esprit qui est insufflé dans l'architecture de l'espace.
Fini le noir et blanc cher à Tom Ford, Stefano Pilati en charge du design de la maison souhaite faire vivre à ses clientes une "Opium expérience". Des murs laqués rouge, un éclairage à l'esprit industriel, des portants en laiton doré, un espace riche en contraste, un écrin pour les créations de la maison.

Ce nouveau concept sera transposé et adapté aux 62 boutiques de la marque, mais pour l'instant nous avons la primeur de l'événement, alors adonnons nous à Yves Saint Laurent!

Sources et photos

mardi 26 février 2008

YSL Manifesto 2008

Stefano Pilati récidive! En effet le créateur de la maison Yves Saint Laurent a décidé, une fois de plus, de jouer la carte de la communication alternative (enfin version soft), en distribuant au cours des Fashion Week de New York, Londres, Milan et Paris son Manifesto pour la saison Printemps-Ete 2008. On pourrait croire que la marque s’adresse à toutes les couches de population, cependant ce n’est pas le cas! Ce petit journal hype d’une vingtaine de pages ne sera distribué que dans les endroits branchés. Un peu snob le Stefano me direz vous, non, car soyons réaliste, YSL n’a pas la même cible que Mango !

C’est Kate Moss qui a été choisit pour l’opus 2008, sous la direction de Ines van Lamsweerde et Vinoodh Matadin. Pour avoir une idée du résultat de la « YSL Woman », je vous laisse apprécier cette petite vidéo.

Pour Paris, la distribution est prévue le mercredi 27 février, jour du défilé YSL…

vendredi 28 décembre 2007

Les campagnes bourgeonnent

Le printemps arrive, du moins pour nos maisons chéries qui s'apprêtent à exhiber, avec fierté, leurs campagnes de communication pour le printemps-été 08.

On commence avec Prada mettant en scène le mannequin Sasha Pivovarova photographiée par Steven Meisel. L'univers, sublime, du dernier défilé est parfaitement retranscrit, les couleurs sont magnifiques, bref c'est une réussite!On enchaine avec YSL qui prend le pari, risqué et original, de photographier une jeune inconnue... Cette débutante du nom de Kate Moss a, je pense, beaucoup d'avenir dans le mannequina. Outre ça la campagne est plutôt sympa, on reste sur cette ambiance de photos volées en pleine rue, même si la Kate moss va finir par nous faire avoir une indigestion.C'est au tour de Chanel, qui comme nous l'avions évoqué dans un précédent article, met en scène Claudia Schiffer. Le résultat, entre romantisme et sensualité, est assez joli et l'utilisation du noir et blanc nous fait oublier la réalité de la dernière collection (j'ai tout simplement détesté).


Enfin c'est au tour de Fendi. La marque limite ses dépenses en utilisant le photographe maison, Karl Lagerfeld. L'égérie n'est autre que la, très chic, Raquel Zimmermann qui se retrouve ensevelit sous une montagne de sacs et autres accessoires, parce que chez Fendi on veut vendre donc on montre les produits (non tout le monde ne communique pas comme Marc Jacobs)! Les couleurs acidulées et le rendu du shooting nous donnent une véritable envie d'été, donc à partir de là je pense que le pari est réussi!
On se retrouve très vite pour la suite des campagnes printemps-été 08!

Sources et photos

jeudi 20 décembre 2007

Au tour des hommes

Du 17 au 20 janvier aura lieu la fashion week de nos amis les hommes pour l’automne-hiver 2008-2009.

On apprend déjà le retour de Dries Van Noten sur les podiums parisiens le 17.

Selon Fashionweekdaily, Stefano Pillati a lui décidé de ne pas défiler, il présentera donc à une élite de journalistes et d’acheteurs la collection Yves Saint Laurent Homme le 16.